La Banque mondiale vient de voler au secours de ceux et celles qui affirment que la pandémie du Coronavirus est un support supplémentaire pour la corruption. Son rapport «Enhancing Government Effectiveness and Transparency The Fight Against Corruption» (non traduit) se veut un manuel avec l’explication d’expériences, réussies ou pas, y compris dans le domaine des contrats de sécurité en Somalie, l’e-justice au Bangladesh, la réforme des partis politiques au Chili… On note aussi une nouvelle approche des choix d’infrastructures, comme l’implication des «stakeholders» (détenteurs d’intérêts: utilisateurs, riverains…). La «petite corruption», dont la prévalence au Maroc justifie la mauvaise réputation du pays, est traitée à travers les administrations et services publics, notamment les ports et la santé.
N.S
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