Rien, même pas le mauvais temps, ne pouvait empêcher les habitants de Fnideq de descendre dans les rues pour exprimer leur désarroi. Ce 26 février, pour le 4e vendredi consécutif, des cohortes de manifestants, majoritairement des femmes et des enfants de tout âge, ont bravé des températures peu clémentes et un air brumeux pour exprimer leur malaise devant le pachalik de la ville...
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