
Contribuer au développement de la médecine générale au Maroc en réunissant ses plus grands spécialistes venant exposer les dernières nouveautés du domaine. C’est dans cette optique que l’association des médecins généralistes de Casablanca Centre (AMCC) organise d’ici quelques jours la cinquième édition de son congrès national. Une manifestation ambitieuse qui fera la part belle à l’apprentissage et à l’échange scientifique, attendant la participation de plusieurs milliers de praticiens du domaine.
Ce congrès, prévu les 4 et 5 décembre au Palais des congrès de Skhirat, rassemblera ainsi pas moins de 350 médecins généralistes en présentiel et plus de 2.000 en distanciel provenant des quatre coins du Royaume. Objectif ? Créer un véritable espace d’échange et de diffusion de connaissances pour les principaux membres du secteur médical national. Les participants seront ainsi amenés à présenter leurs travaux les plus récents, contribuant ainsi à faire progresser le domaine au sein du Royaume.
«Le programme alternera des présentations de recherche fondamentale, des mises au point sur des thématiques de pratique clinique, des focus sur les dernières nouveautés scientifiques ou encore sur des perfectionnements techniques», confie ainsi le président de l’organisme Ali Berrada.
Egalement prévues, plusieurs conférences plénières qui aborderont des thématiques stratégiques pour le secteur tels que la sexualité des personnes âgées, la myopathie ou encore les risques de recours aux antibiotiques.
L’évènement se déroulera en format semi-présentiel. Un choix opéré pour respecter autant que possible les mesures de protection anti-Covid. «Nous avons décidé de maintenir notre congrès en dépit de la pandémie sanitaire, parce que nous estimons qu’il demeure nécessaire aujourd’hui plus que jamais de rester à l’avant-garde des dernières tendances dans le domaine. Nous avons pris toutes les dispositions nécessaires pour optimiser les conditions de déroulement de cette rencontre», précise Berrada.
Fondée en 2015, l’AMCC est une ONG à vocation scientifique formant régulièrement des omnipraticiens. Depuis le début de l’année, la structure a déjà tenu plusieurs rencontres et tables rondes sur le sujet.
Karim AGOUMI
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