«On nous vide de nos ressources humaines», s’écrie la présidente de la Fédération marocaine des TI, des télécoms et de l’offshoring (Apebi), Saloua Karkri Belkeziz. Dans le secteur, les ingénieurs informatiques, fortement sollicités par des entreprises françaises, se font de plus en plus rares (voir L’Economiste N°5001 du 12 avril 2017). «Il existe un réel engouement des sociétés françaises qui envoient leurs chasseurs de têtes au Maroc...
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