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Tableau de bord
Tableau de bord Par Meriem OUDGHIRI
Le 11/11/2024

Une nouvelle cartographie de la population. C’est ce que viennent de dévoiler les premiers résultats du recensement 2024. Tout le monde le sait depuis... + Lire la suite...

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Edition N° 6884 | Le 11/11/2024
Les décideurs de la fonction publique de manière générale ont les mains liées. Pour motiver leurs administratifs et indemniser des tâches non rémunérées, ils n’ont d’autre choix que de passer par les déplacements fictifs (Ph. Privée) Pour les décideurs de la fonction publique, la question des déplacements fictifs est un «non sujet». Cette transgression à grande échelle est tellement ancrée...
Edition N° 6884 | Le 11/11/2024
Dans les universités publiques, les enseignants remplissent des tâches pour lesquelles aucune contrepartie n’est prévue. La nature a horreur du vide, faute de ligne budgétaire dédiée, les universités se débrouillent pour les indemniser, notamment en passant par des déplacements fictifs (Lire article). Et quand ce n’est pas l’université, quelqu’un doit bien payer… Parfois, ça tombe sur l’étudiant...
Edition N° 6882 | Le 07/11/2024
L’EMI, l’ENSIAS, l’INSEA, l’ENCG, l’ISCAE, l’INPT, l’IAV, l’ENSM…, et la liste est encore longue, sans compter les grandes enseignes relevant du privé (UIR, UIASS, Essec Afrique, HEM…). La région de Rabat-Salé-Kénitra enregistre la plus forte concentration de grandes écoles au Maroc. Avec près de 98 établissements supérieurs, publics et privés, elle abrite le deuxième réseau le plus dense...
Edition N° 6879 | Le 01/11/2024
Des micmacs dans les heures supplémentaires effectuées par les enseignants universitaires, et des «acrobaties financières» pour maquiller le tout. Le sujet est pour le moins explosif, puisqu’il touche à une pratique illégale, bien que plutôt répandue, selon les témoignages que nous avons recueillis. Difficile pour des universitaires de se confier sur ces agissements. Cela engagerait, en effet,...
Edition N° 6879 | Le 01/11/2024
Comment cela se fait-il que des trafics pareils d’heures sup (voir article précédent) puissent passer entre les mailles du filet du contrôle financier des universités, sachant qu’elles sont soumises à un contrôle a priori très strict? «Il existe quelques stratagèmes», nous explique un responsable universitaire. Pour certains profs, les heures sup fictives se sont transformées en droit...
Edition N° 6879 | Le 01/11/2024
Les licences, masters et certificats payants se sont multipliés ces dernières années, même si leur potentiel de développement reste jusque-là sous-exploité dans plusieurs universités. Les tarifs des diplômes varient généralement entre 25.000 et 60.000 DH par an. Une véritable manne financière pour les établissements, et qui suscite les convoitises des enseignants. Certaines écoles et facultés...
Edition N° 6879 | Le 01/11/2024
Généralement, les équipes pédagogiques considèrent que les filières de formation continue qu’elles ont montées et enseignées leur appartiennent. L’argent qu’elles génèrent, c’est le leur. Cela est particulièrement vrai pour les coordonnateurs des filières, qui chapeautent le montage des projets de cursus. Sauf que cela peut donner lieu à des dérives. «Des coordonnateurs de filières s’...
Edition N° 6879 | Le 01/11/2024
«C’est la siba (le laisser-aller total)», «ruina (anarchie)», «cette situation est terrible, il faudrait y mettre un terme…», «il faudrait couper court à ces pratiques malsaines qui se sont installées et imposées comme une règle», «il faudrait des ruptures en matière de finances et de gouvernance afin d’en finir avec le bricolage»…, commentent nos sources… en off. Pour eux, les trafics des heures...
Edition N° 6879 | Le 01/11/2024
Le laisser-aller et les réglementations déconnectées des réalités du terrain sont souvent la porte ouverte aux détournements et aux abus, quel que soit le secteur d’activité. L’université publique ne fait pas exception à cette règle. Pendant de nombreuses années, des pratiques douteuses, pour ne pas dire illégales, se sont installées dans le monde universitaire, au point de devenir des...
Edition N° 6878 | Le 31/10/2024
La réforme de la loi 01-00 régissant l’Enseignement supérieur, l’ancien ministre Lahcen Daoudi en parlait en 2014 déjà. 10 ans plus tard, le projet n’aboutit toujours pas. Ses successeurs, Saaïd Amzazi et Abdellatif Miraoui, n’ont pas non plus pu mener le chantier à bout, malgré leurs promesses. Le nouveau ministre, Azzeddine Elmidaoui, y parviendra-t-il? A.Na