L’application d’une taxe aux formalités de visa ne manquera pas d’avoir des répercussions sur les pèlerins, les agences de voyages, mais aussi les réserves de devises. «En général, le pèlerin marocain dispose d’un budget très réduit et ne peut dépenser que dans la limite de la dotation Omra qui est de 15.000 dirhams», explique Fouzi Zemrani, vice-président de la Confédération nationale du tourisme...
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