Les timbres de leurs voix transmettent «l’horreur» que vivent les agences associant voyage et événementiel. «Nous sommes complètement à l’arrêt depuis mi-mars 2020 puisque les frontières sont fermées. Il n’y a pas eu de licenciement économique malgré cette situation très critique», confie Nezha Amrani, DG de Liberty International Morocco. Cette agence de voyages est spécialisée dans le tourisme d’affaires (MICE)...
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.
Vous êtes déjà abonné à L'Economiste mais vous n'avez pas reçu vos identifiants?
Contactez-nous à l’adresse [email protected] pour les recevoir en indiquant: nom, prénom, email, entreprise, fonction et numéro de téléphone.