Un check-up peu réjouissant du Ramed
Voilà un dossier auquel Anass Doukkali, le nouveau ministre de la Santé, devra s’attaquer rapidement. La généralisation du Ramed s’est accompagnée d’une fragilisation de l’hôpital public. Elle a eu un impact négatif sur l’organisation des soins et leur qualité. Le phénomène d’engorgement et les délais trop longs sont une source de stress permanent pour la population. La situation est telle que l’Observatoire national du développement humain craint la désaffection de l’hôpital public par les patients solvables.