Adhésion au Tribunal pénal international, abolition de la peine de mort, égalité entre homme et femme dans l’héritage, droits des homosexuels ou encore du «peuple sahraoui»... Voici un échantillon des 44 recommandations onusiennes rejetées par le Maroc sur les 244. Rabat a brandi, selon les cas, la souveraineté nationale ou des considérations religieuses notamment. Si certaines positions défendues sont compréhensibles, elles le sont moins dans d’autres sujets qui soulèvent la controverse.
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