«Il y a une demande sociale pour l’histoire»
Auditer les manuels d’histoire et l’apprentissage qui en est fait dans les établissements d’enseignement. C’est l’un des chantiers stratégiques de l’Institut royal pour la recherche sur l’histoire du Maroc. Et qui ne compte jouer ni au gendarme, ni au censeur. «Ses missions sont l’affaire de toutes les Marocaines et de tous les Marocains», estime son nouveau directeur, le Pr. Mohamed Kenbib. Sa première sortie publique est l’occasion de revenir sur les enjeux de l’histoire pour 36 millions de citoyens.