«Des commissions d’inspection et de contrôle sont mobilisées dans les cliniques accusées de surfacturations, chèques de garantie et autres. En cas de manquement ou dépassement avérés, des sanctions sévères (ndlr; y compris la fermeture) seront prises», confie à L’Economiste Khalid Aït Taleb. Le ministre de la Santé affirme qu’il sera intransigeant. Toutefois, «le citoyen doit être raisonnable...il ne pourra pas profiter de soins dans le secteur privé et exiger la gratuité», poursuit-il. Interpellé sur la question des vaccins, Aït Taleb n’en dira rien.
Y.S.A.
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.