C’est le paradoxe des facultés des lettres et sciences humaines, une part conséquente d’étudiants lauréats d’un baccalauréat scientifique, soit près de 22%, selon l’Enseignement supérieur. Incapables de suivre des parcours scientifiques ou économiques en langue française, beaucoup de bacheliers s’orientent vers des filières littéraires arabophones.
A.Na
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