Les exploitants de pétrole aux Etats Unis veulent se débarrasser de leurs barils, lundi soir ils étaient prêts à payer pour cela. Toujours est-il que le brut est au plus bas. Les produits raffinés suivent. On ne comprend pas très bien pourquoi le ministère de l’énergie, dirigé par Aziz Rebbah, n’a pas réquisitionné les cuves de la SAMIR, pour y loger quelques réserves. Ces cuves seraient encore dans un état correct. Elles ne demanderaient que de l’entretien. C’est ce qu’affirmaient les «parties intéressées» (dont les banques) quand il était question de trouver un repreneur.
J.R.
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.