La vente de terres agricoles aux investisseurs étrangers est prohibée au Maroc, sauf dérogation. Munis d’une attestation de vocation non agricole, ils doivent s’engager à réaliser un projet à l’exclusion de l’immobilier. Sans quoi, l’Etat doit procéder à l’expropriation du terrain. Une mesure jamais actionnée faute de budget. Bon nombre d’investisseurs n’arrivent pas à mener à terme leur projet et se retrouvent prisonniers de la loi. En effet, ils ne peuvent céder leur terrain en raison d’une clause résolutoire.
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