La liquidation de la raffinerie Samir, la plus grande jamais vue à ce jour, prend de plus en plus une ampleur politique. Le Front, constitué pour sauver la compagnie, critique sèchement le gouvernement pour «sa neutralité négative». Sa politique des énergies fossiles est mise aussi au banc des accusés pour son «défaut de clarté». Or, une vraie vision sectorielle aurait pu donner plus de chance à l’aboutissement d’une cession judiciaire de la raffinerie. Ce plaidoyer s’ajoute à l’avis très critique de l’Autorité de la concurrence sur une «libéralisation mal préparée» des prix du carburant.
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