Le Maroc investit chaque année plus de 30% de son PIB, soit l’un des taux les plus élevés au monde. Pourtant, sa population n’en reçoit pas les retombées faute d’une croissance forte, stable et inclusive. Il est vrai que la pauvreté a reculé, mais l’écart entre les pôles urbains et la campagne reste élevé. Avec un taux de convergence annuel de 4%, il faudra attendre 24 ans minimum pour que les disparités entre les 12 régions soient réduites de moitié. Vaste chantier.
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