Un 3e trimestre encore plus difficile
Au 3e trimestre, la situation ne devrait pas s’améliorer avec une croissance attendue de 1,2% contre 4,1% une année auparavant. Ce ralentissement serait dû à la régression de 13,2% de la valeur ajoutée agricole, en comparaison avec la même période de l’année passée, explique le HCP. Et dans un contexte marqué par le Brexit et le climat d’attentisme des investisseurs qui pourrait en découler, la demande mondiale adressée au Maroc devrait poursuivre sa progression au rythme de 2,8%, en variation annuelle, au 3e trimestre. Toutefois, cette augmentation serait relativement moins soutenue qu’au 2e trimestre, mais elle continuerait à profiter à certains secteurs industriels comme l’automobile et l’aéronautique.