L'armée irakienne a admis, hier lundi, un usage excessif de la force lors du mouvement de contestation marqué par des violences sanglantes. Et ce, le jour même où une force paramilitaire s'est dit prête à intervenir pour soutenir le gouvernement. Les autorités ont multiplié les annonces de mesures sociales pour tenter d'apaiser la colère de manifestants. Aussi, des attaques contre des médias en Irak inquiètent l'ONU et les défenseurs de la liberté de la presse. Hier, lundi, le Conseil suprême de la magistrature a réclamé des mesures judiciaires contre ceux qui ont attaqué des chaînes de télévision.
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