Nouveau rebondissement dans l’affaire Samir
Du nouveau dans l’affaire Samir. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le tribunal de Commerce de Casablanca poursuit l’examen des déclarations de créances émises dans le cadre de la liquidation du raffineur Samir. Comme annoncé, le dossier d’un emprunt obligataire de 800 millions de DH est particulièrement suivi par le marché financier.
La cour a relevé ainsi l’existence de deux déclarations de créances. L’une faite par le mandataire au nom de toute la masse des obligataires, à savoir l’expert-comptable Mohamed Hdid. L’autre déclaration a été déposée par les créanciers à titre individuel. La justice a constaté l’existence une double déclaration de créance.
Afin de dépasser ce "problème de représentativité", il a été question lors du débat entre le syndic judiciaire et l’un des créanciers "d’un dessaisissement" au profit du représentant de la masse des obligataires. Le juge-commissaire, Abderrafi Bouhamria, a reporté l’examen de ce dossier à fin avril 2017.
F.F.