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Piqués au vif
Piqués au vif Par Mohamed Ali Mrabi
Le 25/04/2024

L’océan Atlantique, cet immense espace ouvert sur le monde. Avoir accès à ce carrefour d’échanges économiques et de brassages est devenu au fil des années... + Lire la suite...

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Edition N° 5371 | Le 15/10/2018
Elwalid Abdelaal Hamour, directeur du hub régional de la BID à Rabat: «L’engagement du Souverain pour l’émergence économique du continent est très apprécié par notre institution. C’est dans ce contexte que la BID a signé un mémorandum d’entente avec le gouvernement marocain, pour promouvoir la coopération avec les pays de l’Afrique subsaharienne» (Ph. BID) - L’Economiste: Quelle est la...
Edition N° 5371 | Le 15/10/2018
Elwalid Abdelaal Hamour, directeur du hub régional de la BID à Rabat (à gauche), et Mohamed Methqal, ambassadeur, DG de l’Amci (Agence marocaine de coopération internationale), lors de la cérémonie de lancement de la publication la semaine dernière (Ph. Amci) Capitalisant sur sa longue expérience, la Banque islamique de développement (BID) a mis en place, depuis quelques années, un mécanisme...
Edition N° 5370 | Le 12/10/2018
Comment l’innovation pédagogique pourra-t-elle contribuer à l’amélioration de la qualité de l’enseignement? Une question sur laquelle se penchent, depuis deux jours, plus de 200 experts marocains et étrangers réunis pour le colloque organisé par le Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS). L’innovation éducative et la dynamique de la réforme au...
Edition N° 5367 | Le 09/10/2018
La coopération avec les universités marocaines permettra le développement de filières en licence et en master dédiées à la consolidation financière, selon Anass Radi, président de l’Association marocaine des consolideurs financiers. Des stages pour les étudiants sont aussi au menu (Ph. NEA) Fraîchement créée, début 2018, l’Association marocaine des consolideurs financiers porte de grandes...
Edition N° 5366 | Le 08/10/2018
Belle envolée pour l’investissement au niveau de la région de Rabat-Salé-Kénitra en 2018. 89 projets dépassant les 14 milliards de DH, ont été validés par le Centre régional d’investissement durant le premier semestre 2018. Ce qui va permettre la création de 13.925 emplois. La part de l’industrie s’élève à 36,43% du montant global et 14 % des emplois. Parmi les projets importants, celui de la...
Edition N° 5364 | Le 04/10/2018
Le budget de la région de Rabat-Salé-Kénitra (RSK) pour l’année 2019 a été adopté lors de la session du Conseil pour le mois d’octobre tenue au début de cette semaine. Son montant s’élève à 742 millions de DH légèrement supérieur à celui de l’année 2018 (741 millions de DH). Plus de 100 millions de DH seront consacrés aux dépenses de fonctionnement, ce qui va permettre de dégager un excédent de...
Edition N° 5363 | Le 03/10/2018
Pour Abdelhafid Edmino, professeur de droit des collectivités territoriales à la faculté de Souissi-Rabat, souvent les tentatives de déstabilisation du président sont motivées par des intérêts personnels de certains élus (Ph. NEA) - L’Economiste: La requête de démission doit être transmise au tribunal administratif pour statuer sur la révocation du président concerné. Comment se comportera...
Edition N° 5363 | Le 03/10/2018
L’article 70 de la loi organique 113-14 peut faire détrôner certains présidents de communes de la région Rabat-Salé-Kénitra. Mais le lancement de la procédure a déjà suscité des conflits ainsi que la résistance de la part de certains présidents. La tension a atteint un niveau élevé dans la commune de Sidi Slimane dirigée par Mohamed Hafiani du PJD. Sa démission est réclamée par un groupe de...
Edition N° 5363 | Le 03/10/2018
Deux nouveautés majeures émanent des nouvelles lois organiques relatives aux collectivités territoriales. D’abord, la suppression du compte administratif prévu par l’ancienne charte communale dont le vote était programmé chaque année lors de la session de février. Celle-ci était considérée comme un moment crucial pour l’avenir du président. En effet, l’adoption du compte administratif par...
Edition N° 5357 | Le 25/09/2018
 Le très faible taux d’encadrement dans l’enseignement supérieur à accès ouvert est une des raisons principales de la dégradation de la qualité de la formation dans les facultés marocaines La situation se complique pour les nouveaux bacheliers. Même avec une mention, une grande partie d'entre eux ne peut poursuivre des études supérieures dans les formations qu’ils désirent. Il s’agit des...