La pratique est encore confidentielle, mais elle est bel et bien là. De plus en plus d’entreprises commencent à greffer des retraites complémentaires à leur ingénierie sociale. L’instrument passe désormais pour un outil de fidélisation. Si pendant longtemps le débat sur les retraites relevait du cercle d’experts, le souci du pouvoir d’achat après la vie active fait aujourd’hui partie des préoccupations des cadres, à partir d’un certain âge. Un jeune de 28 ans n’a pas les mêmes attentes qu’un collaborateur de 45 ans. A la diversité de la composition des effectifs des entreprises, les DRH doivent répondre par des outils de gestion de la diversité. Les entreprises, qui ne sauront pas faire face à ces nouvelles contraintes, pourraient perdre en attractivité. La sanction immédiate serait aussi le recul de leur compétitivité. Abashi SHAMAMBA
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