10 ans après son entrée en vigueur, l’Accord de libre-échange Maroc/Etats-Unis reste encore sous-exploité, avec un déficit structurel de la balance commerciale du côté marocain. L’approche classique adoptée jusque-là n’a pas permis à cet accord d’atteindre sa vitesse de croisière. L’évolution des échanges, qui sont passés de moins de 1 milliard de dollars à plus de 3 milliards depuis 2006, a surtout profité au côté américain.
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