«Un homme averti en vaut deux». Les créanciers de la Samir ont pris le devant avant même que le raffineur ne soit déclaré en liquidation judiciaire le 21 mars 2016. Ils ont engagé ainsi une quarantaine de saisies, conservatoires pour leur quasi-majorité. Une procédure qui «a pour effet exclusif de mettre sous la main de la justice les biens meubles et immeubles sur lesquels elle porte et d’empêcher le débiteur (Samir) d’en disposer au préjudice de son créancier», précise l’article 452 du code de procédure civile.
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.
Vous êtes déjà abonné à L'Economiste mais vous n'avez pas reçu vos identifiants?
Contactez-nous à l’adresse [email protected] pour les recevoir en indiquant: nom, prénom, email, entreprise, fonction et numéro de téléphone.