. En Norvège, la production amputée de son dixième Les prix du pétrole montaient le 11 janvier matin lors des échanges électroniques avant la publication des chiffres hebdomadaires des stocks américains, alors qu’une forte tempête en mer du Nord fait craindre de nouveaux dommages sur les installations pétrolières. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de pétrole brut pour livraison en février progressait de 40 cents à 46,08 dollars. Sur l’International Petroleum Exchange (IPE) de Londres, le baril de Brent de la mer du Nord prenait 31 cents à 43,43 dollars en séance électronique. Une forte tempête (la plus importante depuis de nombreuses années) souffle sur le nord des îles britanniques, la république d’Irlande et la côte est norvégienne depuis le 11 janvier. La production pétrolière norvégienne, perturbée par des incidents techniques aggravés par la tempête, risque d’être amputée de plus d’un dixième encore durablement, a-t-on appris le 12 janvier auprès des compagnies pétrolières. Suite à la fermeture de trois plateformes offshore (Snorre A, Vigdis et Draugen), la production de la Norvège, troisième exportateur mondial de brut, est actuellement réduite de 345.000 barils par jour, soit 11,5% de la production normale du pays. Synthèse L’Economiste
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