Stress hydrique, quelles priorités pour l’agriculture marocaine?
La sécheresse persistante et les crises mondiales pèsent lourdement sur l’agriculture marocaine. Malgré des précipitations récentes qui ont offert un répit temporaire, elles restent insuffisantes pour inverser la tendance. Si les régions du Nord bénéficient de pluies torrentielles en ce mois de mars, le déficit pluviométrique dépassera toujours 50% dans certaines régions, réduisant considérablement les rendements des cultures pluviales comme les céréales et les légumineuses.