Ce n'était pas gagné d'avance. Mais le dirham a tenu le choc au cours d'une année 2020 mouvementée. En élargissant la bande de fluctuation à +/- 5% début mars, les autorités monétaires n'avaient pas prévu qu'il y aurait dans la foulée un confinement de plusieurs mois de l'économie mondiale et un choc sur les sources de rentrées de devises: exportations, tourisme, transfert MRE, IDE...
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