Selon Abdelhamid Addou, PDG de RAM, la souveraineté des airs et de notre pays est une priorité. «Toute idée qui consiste à céder les actifs ou une partie du capital de l’entreprise serait à mon sens une erreur». Sur le court terme, le patron du pavillon national se dit contre l’ouverture du capital. «Imaginez si l’on avait un partenaire étranger dans le capital! Dans ce cas de figure, nous n’aurions jamais pu envoyer des avions et rapatrier nos compatriotes de Chine, de Corée ou encore chercher des équipements sanitaires... Tout simplement, parce que nous n’aurions pas pu avoir le feu vert de nos actionnaires». Et d’ajouter: «Le fait que RAM soit une entreprise qui appartient à l’Etat nous permet beaucoup d’agilité».
A.R.
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