L’affaire n’est pas aussi tordue que le démantèlement d’une cellule terroriste. Un citoyen se fait subtiliser sa carte bancaire et se voit presque vider son compte. La victime porte plainte à la préfecture de police de Zerktouni à Casablanca en février 2020 (n°dossier 20/3/01/2926). Une enquête est ouverte et sa plainte transmise au parquet sous la référence 2020/7/3. Et après? Rien. L’escroc, qui n’en est pas visiblement à son premier fait d’armes, a été enregistré par les caméras de surveillance des magasins et guichets bancaires qu’il a fréquentés. Les enquêteurs sont-ils allés jusqu’au bout de leur investigation? La DGSN dispose d’une base de données avec un système de reconnaissance faciale. Le plaignant ne sait plus à quel saint se vouer même s’il a souscrit à une assurance bancaire bien avant les faits.
J.R.
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