Les vacances judiciaires, qui ont duré du 23 juillet jusqu’au 7 septembre 2020, viennent de se terminer. Malgré la reprise, pas une mouche dans certaines juridictions comme celle de Marrakech. La ville est confinée depuis mars 2020 à cause du Covid-19. Le travail en alternance recommandé par le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire n’a pas permis de relancer la machine. Les auxiliaires de justice, tels que les avocats, sont tenaillés depuis des mois par une asphyxie financière. Les audiences sont au ralenti. Beaucoup d’autres services ne sont pas vraiment opérationnels, témoignent des praticiens du droit.
F.F
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.