Les parents sont encore nombreux à revendiquer des réductions allant à 50% des frais de scolarité des mois d’avril, mai et juin. Pour eux, les écoles privées n’ont pas rempli leur mission durant cette période (diminution des horaires assurés, défaut d’un e-learning régulier dans certains cas…). Les parents ont, en plus, dû participer aux cours, voire remplacer les enseignants, et assurer une charge financière supplémentaire pour l’enseignement à distance. Les écoles ne l’entendent pas de cette oreille. Devant s'acquitter de charges fixes, notamment les salaires des profs (plus de 80% des charges), elles ne prévoient des facilités que pour les parents lourdement impactés par la crise. L’Education nationale tente toujours de faire la médiation entre les deux parties.
A.Na
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