A l’heure du coronavirus, des ministères, comme l’Intérieur, publient encore des communiqués sans en-tête, ni sceau, ni signatures! Cette mauvaise pratique ne renforce pas l’authenticité de leurs informations. Et laisse la porte ouverte à des tentatives de falsification, de détournement de la bonne information... Rendant ainsi le public moins alerte face aux propagateurs de fausses nouvelles via les réseaux sociaux (Lire article). C’est dans ce contexte aussi que le Conseil national de la presse et le Syndicat national de la presse marocaine dénoncent l’utilisation de fausses images, de l’injure, de l’atteinte à la vie privée... Ces actes illégaux suscitent la peur et la désinformation. Des manquements ont été enregistrés chez des individus (non journalistes) et sites électroniques.
F.F.
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