«94,7% des recherchés ont commis un crime à cause de l’absence d’aide des autorités gouvernementales après leur libération. 61,3% des récidivistes affirment que le travail réduit le taux de récidive». Les chiffres, extraits d’une étude réalisée par la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Fès, pour le compte de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), renseignent sur la complexité de ce phénomène...
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