Reproduire les erreurs du passé et espérer qu’un miracle se produise pour que tout fonctionne. C’est l’histoire de la formation continue. A l’heure où les technologies bouleversent les métiers, le Maroc peine encore à faire fonctionner ce dispositif. La nouvelle loi reproduit la même lourdeur de gouvernance. Le maigre budget alloué, pour sa part, couvrira une population élargie, passée de 3,4 millions à 12 millions d’actifs. Tandis qu’un ensemble de mécanismes reste gelé. Déçu, le patronat compte continuer à militer.
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