L’Education nationale manque sérieusement de profs bilingues. A tel point que des enseignants d’arabe du primaire sont obligés d’enseigner le français, alors qu’eux-mêmes ne le maîtrisent pas vraiment. Comment décliner la réforme de l’apprentissage des langues dans ces conditions? Le ministère a aussi du mal à trouver des profils valables parmi les contractuels. Au niveau de la première vague de recrutements, il y a près de deux ans, sur 130.000 candidats, seuls 1.000 maîtrisaient le français, soit 0,7%.
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