Un grand procès pénal vient d’être jugé. Mi-janvier 2018, la Cour d’appel de Casablanca s’est prononcée notamment pour la peine de mort dans l’affaire Merdass. Du nom d’un parlementaire assassiné il y a près d’un an devant son domicile avec une arme à feu. Ce meurtre prémédité a tenu en haleine une opinion publique de plus en plus craintive pour sa sécurité, à l’heure où la moindre déflagration est perçue à première vue comme une attaque terroriste. En fin de compte, il n’y aura ni criminalité organisée, ni mobile politique derrière cet assassinat. Mais une relation «de sexe et d’argent» qui finira dans un bain de sang.
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