
Le boulevard Moulay Ismail à Casablanca est devenue un enfer pour la circulation. A partir du rond-point de l’ambassadeur Ben Aicha et jusqu’à hauteur de la préfecture de Ain Sebaâ, ce sont chaque jour embouteillages, stress continu et accidents, les voitures slalomant entre cavités, bouches d’égouts, dénivellement, prenant même le risque d’emprunter les couloirs en sens inverse pour trouver des morceaux de voies praticables.
Il s’agit pourtant d’un axe de connexion stratégique à la fois entre le port de Casablanca et l’autoroute, pour plusieurs grands groupes industriels d’Ain Sebaâ, des Roches Noires ainsi que pour le quartier à forte concentration démographique de Bernoussi. Le pire, c’est que le chantier semble à l’arrêt depuis plusieurs mois. Encore un exemple de la grande estime que la gouvernance locale à Casablanca affiche à l’égard des habitants et vis-à-vis des ambitions logistiques... (Ph. Jarfi)
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