
Des jeunes avec des étoiles plein les yeux, des parents comblés et fiers, des voix émues… La cérémonie de célébration des jeunes bacheliers, enfants de salariés d’Eco-Médias (éditeur de L’Economiste et Assabah, propriétaire d’Atlantic Radio) a marqué les esprits. Six jeunes hommes et deux demoiselles fraîchement diplômés ont été reçus au siège du groupe à Casablanca. «Vous êtes les enfants du groupe. Votre réussite est aussi la nôtre», a déclaré Khalid Belyazid, directeur général, s’adressant aux huit nouveaux bacheliers.

Le groupe a tenu à les féliciter, à les célébrer et à les encourager. Ils ont également reçu des cadeaux, des tablettes dernier cri. De quoi ravir les ultra-connectés qu’ils sont.
Salma Bouziani, fille du secrétaire général de la rédaction d’Assabah, Bourahou Bouziani, a réussi son bac en économie, option gestion d’entreprise, avec mention bien. Après avoir passé le concours de l’Esith, elle prépare actuellement l’épreuve d’accès à l’ENCG, l’école qu’elle rêve d’intégrer. Pas question de mettre tous ses œufs dans le même panier. La bachelière est prête à passer plusieurs concours. Son projet, poursuivre ses études à l’étranger, afin de «s’ouvrir la voie à une belle carrière».
Lamyae Fakhreddine, elle, est la fille de Saïd Fakhreddine, infographiste à L’Economiste, qui fait partie des premières recrues du journal (25 ans), ayant travaillé sur sa toute première mouture, la maquette numéro zéro. Lamyaea obtenu son bac physique-chimie avec une moyenne de 15,68. La brillante élève n’est, cependant, pas sûre que cela suffira pour décrocher une place à la faculté de médecine, la discipline qui la fascine depuis toujours. Les sélections y démarrent à partir d’une moyenne supérieure à 16. Son plan «B», des études en pharmacie. Lamyae adore lire des romans et écrire dans la langue de Molière.

Ali Ouahid, pour sa part, est doublement lié à L’Economiste. Il est, en effet, le fils de Aziz Ouahid, chef de l’équipe des infographistes de L’Economiste, qu’il a intégré dès son démarrage en 1991, et de Khouldya Mekayssi, assistante commerciale du même support, depuis près de vingt ans. Son bac en économie en poche, il s’est tout de suite inscrit dans une école de commerce. Le jeune homme, débrouillard et entrepreneur, souhaite à terme monter son propre business. Ali est également patineur professionnel et féru des montages vidéo.
Encore un bachelier qui rêve de se lancer dans les affaires, Mehdi Essifer, fils de Samir Essifer, directeur administratif et financier du groupe Eco-Médias, qu’il a rejoint depuis plus de vingt ans. Mehdi fait partie de ces jeunes qui ont les idées bien claires. Ambitieux et déterminé, son avenir est déjà tout tracé. Après une licence en économie et gestion à l’université de Toulouse Capitole, où il s’est inscrit, il envisage de continuer avec un master dans une grande école de commerce. Mehdi, également grand sportif, amateur de basketball et de football, aspire à cumuler un maximum d’expérience à l’étranger, avant de revenir au Maroc pour créer sa propre startup.

Brillant élève, Othmane Ouadifi, fils de Brahim Ouadifi, chargé du recouvrement du bureau de Rabat de L’Economiste (depuis 17 ans), a obtenu son baccalauréat en sciences physiques avec une moyenne de 18,45. Une moyenne qui lui a permis de candidater pour l’Institut agronomique et vétérinaire. Son rêve de toujours, devenir vétérinaire. Il a même fait du domicile familial un refuge pour animaux domestiques. Othmane a passé l’examen écrit avec succès. Il vient de passer l’oral lundi dernier. Outre sa fascination pour les animaux, Othmane est amateur de ping-pong.
Faissal Aben Amghare aurait bien voulu devenir journaliste. Mais tout vient à point à qui sait attendre. Son papa, Boubker Aben Amghar, employé au groupe depuis 17 ans, a d’abord préféré l’ouvrir sur d’autres
spécialités, tout en lui offrant des cours de langues. Pour commencer, le bachelier en SVT s’est inscrit dans un institut de développement informatique. Un domaine qui le séduit. Son sport favori, la boxe, qu’il pratique régulièrement.

Mehdi Damou, connu pour son humeur joviale et sa «cool attitude», féru de football, a obtenu son bac en SVT avec mention. Comme ses camarades, il a déjà fait son choix de carrière. Il souhaite devenir ingénieur informatique, afin de développer des logiciels. Son ambition, gérer la stratégie informatique des entreprises. Son inspiratrice, sa maman, Samira Tamda, assistante commerciale, qui fait partie de la toute première équipe de L’Economiste, où elle exerce depuis 25 ans.
Pas de doute dans son esprit, Oussama Ougda sait où il veut aller. Il s’est fixé pour objectif de carrière de devenir expert-comptable. Après son baccalauréat en gestion comptable, il ambitionne, à l’instar de Salma Bouziani, d’intégrer l’ENCG. Il est d’ailleurs en préparation intensive pour le concours. Oussama adore le foot et les nouvelles technologies. Drôle et chaleureux, il a hérité des traits de caractère de sa maman, Leila Sadek, responsable abonnement et qualité de L’Economiste qu’elle a rejoint il y a de cela vingt ans. Une véritable mère courage qui se bat au quotidien pour ses enfants.
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