Du simple au triple, voire plus. C’est le rapport de prix du kilo de poisson dit noble entre le patron-pêcheur et le détaillant. Pour ce qui est des petits pélagiques, le prix est pratiquement multiplié par dix. Une situation que les professionnels, notamment les Chambres de pêche, attribuent à l’armada d’intermédiaires qui s’activent dans les circuits de distribution. Pour l’exécutif, «les cas de monopole, de spéculation ou de hausses irrationnelles des prix ne peuvent être tolérés», dixit Mustapha El Khalfi, porte-parole du gouvernement. Lire la suite