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Inenvisageable
Inenvisageable Par Meriem OUDGHIRI
Le 18/04/2024

D’un côté des fenêtres grandes ouvertes d’opportunités, des corridors renforcés d’échanges, des rendez-vous d’importance qui arrivent… de l’autre, des... + Lire la suite...

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Directrice des rédactions – Groupe Eco-Médias

Edition N° 4756 | Le 21/04/2016
Avec 1,2 million de chômeurs déclarés en tant que tels, un autre million de personnes sous-employées et à peu près autant qui travaillent mais ne sont pas payées (les catégories se recoupent partiellement), l’emploi au Maroc s’est terriblement dégradé. Il est le premier des soucis des Marocains. On se demande même pourquoi ils n’expriment pas leurs attentes de manière plus forte: dans les...
Edition N° 4752 | Le 15/04/2016
  On le sait. Il n’empêche que les chiffres font de plus en plus mal: chez les adultes, l’éducation au Maroc est à un tiers en dessous des pays comparables et n’atteint même pas la moitié de la moyenne mondiale. Avec de tels niveaux d’ignorance, encore une fois soulignés par le HCP, difficile de se mettre en ligne pour courir vers l’émergence. Ou bien pour dire la même chose autrement: la...
Edition N° 4751 | Le 14/04/2016
Aujourd’hui, une partie des enseignants-stagiaires tente d’organiser d’autres manifestations, malgré l’interdiction. La violente querelle entre le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaid, et son chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane, n’est toujours pas vidée. Quand le ministre d’Etat, Abdallah Baha, avait brutalement disparu, son ami Benkirane avait expliqué qu’il...
Edition N° 4750 | Le 13/04/2016
  En grande pompe devant de nombreuses caméras, ministres, hommes et femmes d’affaires, gens de la politique et même le chef de gouvernement lui-même, ont dépensé quelques petites heures de leur temps pour chanter les louanges de la formation professionnelle. Même s’il y avait là rancœurs cachées et visées électorales, ne boudons pas nos espoirs. Il faut en effet bien voir que les plans...
Edition N° 4747 | Le 08/04/2016
La prévalence du diabète au Maroc (voir L’Economiste du jeudi 7 avril 2016) ouvre en réalité un trou béant. Quatre exemples. Dans les années 1960-70, Bruxelles croulait sous le beurre. Le Maroc, qui en produisait peu, commande de gros stocks pour trois fois rien. Dix ans plus tard, le prix mondial reprend son niveau normal. Hélas! Rabat n’ose pas suivre et préfère subventionner massivement. Ce...
Edition N° 4746 | Le 07/04/2016
Sur les questions de retraite des (seuls) fonctionnaires, les syndicats se sont refait une santé politique et médiatique. Et ce sur le dos quasi exclusivement du chef de gouvernement: il faut reconnaître que les diverses tendances de son propre parti, et surtout de son propre gouvernement, n’ont été ni très engagées, ni très agiles à le soutenir. C’est bien regrettable. En effet, depuis...
Edition N° 4745 | Le 06/04/2016
  Voilà sept-huit ans que ce lapin sort des chapeaux ministériels: la préférence nationale. C’est une idée séduisante, légitime et mobilisatrice. Personne ne voit là-dedans une concrétisation de l’économie de rente. Et pourtant… Mais allons plus loin. Que s’est-il donc passé pour que les ministres se sentent pousser des ailes sur cette idée de préférence nationale, qu’ils n’ont pas l’intention...
Edition N° 4744 | Le 05/04/2016
Combien d’administrations et d’entreprises marocaines, stratégiques ou pas, ont logé leurs données dans un cloud ou  «ferme de data»? Ces utilisateurs savent-ils que leurs données ont la protection du pays d’accueil, c’est-à-dire aucune protection pour la grande majorité des loueurs de serveurs? Pas très prudent et pas du tout raisonnable. Mais il n’empêche que lorsqu’il s’agit de rendre aux...
Edition N° 4741 | Le 31/03/2016
  Le débat sur le code de la presse et ses textes annexes n’est pas sur le bon terrain. Il n’est question que de  peines de prison (et dans quels textes ces dispositions iniques seront cachées!). On tourne tous en rond depuis 4 ans. La réalité est que les lois régissant la fourniture d’informations n’appartiennent pas au ministre, ni aux journaux et pas davantage au gouvernement. Elles...
Edition N° 4740 | Le 30/03/2016
  Les bras nous en tombent: comment ont-ils fait pour être aussi nuls sur la conduite des affaires économiques du Royaume? En cause, la gestion  par les deux équipes d’Abbas El Fassi, puis par les deux équipes de Benkirane. Les premières ont dépensé sans compter l’argent public. Elles ont multiplié les promesses, comme si elles avaient massivement pratiqué le «hors bilan», cette façon «...